Live - Festival Beausoleil
Ce festival affiche sa volonté de faire la part belle aux musiques aventureuses.
Entrée libre
Cette première édition du mini Festival Beausoleil affiche sa volonté de faire la part belle aux musiques aventureuses, inclassables et expérimentales tout en ne s’enfermant dans aucun genre musical. Il a pour vocation de construire des soirées autour de formes musicales légères, privilégiant l’écoute et la rêverie.
En partenariat avec l’association Club Beausoleil
http://clubbeausoleil.tumblr.com
Futuroscope (France)
Futuroscope peut se définir comme du « Wild Wild Kraut rock ». Evoquant Faust, Link Wray, Can et Neu !, le groupe produit une musique répétitive à la fois dansante et expérimentale, dans laquelle les improvisations psychédéliques, les drones soniques et les interludes de synthés créent un mélange inclassable et détonant. Leur premier album « Hum », sorti sur le label américain Monofonus Press, est une énième preuve que la musique française, celle qui ne passe ni à la radio ni à la télé et qu’on ne voit pas dans la presse spécialisée faute de place, va bien. En live ou en studio, le groupe est à géométrie variable. On y trouve des membres de Pneu, The Dictaphone, Jagwar Pirates ou Finkielkrauts par exemple.
https://futuroscope.bandcamp.com/
Eric Chénaux (Canada, Constellation Records)
Véritable troubadour post moderne, Eric Chenaux a publié sur le label Constellation six albums solos dans lesquels l’agilité de son jeu de guitare s’allie à la pureté presque lyrique de son chant. Remarqué à ses débuts pour sa réécriture ingénieuse du folk traditionnel, ses chansons ont évolué au fil des années en une forme de ballade originale dont les improvisations à la guitare électrique et classique font toute la singularité. Dans les années 1990 et 2000, Eric Chenaux fait figure de proue de la scène musicale expérimentale de Toronto, notamment au sein de groupes post-punk comme Phleg Camp et Lifelikeweeds. Il cofonde en 2002 le label Rat-drifting, qui s’intéresse à des artistes de musique improvisée, de out-jazz et de avant-song. Il est par ailleurs compositeur et interprète pour des musiques de films et de danse contemporaine et développe un arsenal de techniques sonores sur des enceintes miniatures et des micros contacts. Il a eu l’occasion de se produire et d’enregistrer avec Pauline Oliveros, John Oswald, Michael Snow, Han Bennink, Josephine Foster ou Martin Tétreault. Son nouvel album, Skullsplitter, a été décrit comme du « r’n'b de Saturne ».
http://www.muraillesmusic.com/artistes/eric-chenaux
Ela Orleans (Grande-Bretagne)
Ela Orleans est une musicienne et compositrice polonaise basée à Glasgow. Après avoir étudié les beaux arts et la musique, elle forme au debut des années 2000 le groupe Hassle Hound avant de s’installer à New-York où elle collabore avec de nombreuses figures de la scène noise et expérimentale (Jackie O Motherfucker, Kevin Shea, Lee Ranaldo). A la fin des années 2000, elle commence à mener ses projets solos, enregistrant notamment plusieurs disques encensés par la critique indépendante et vite épuisés. On qualifie souvent sa musique de « Cinéma pour les oreilles ». Armée de sa seule voix, de quelques machines et instruments, Orleans pousse ses influences pop vers des territoires cinématiques, expérimentant avec des fragments sonores soigneusement sélectionnées, des textures électroniques complexes et des arrangements orchestraux. Le résultat est une pop électronique pleine d’écho aux années 60, évoquant Broadcast ou Stereolab. Après avoir collaboré avec des artistes et labels aussi prestigieux que Dirty Beaches, les Pastels ou Warp Records, elle se produira aux Abattoirs forte d’un nouvel album, Uper Hell, produit par Howie B (Björk, Tricky…), toujours soutenue par d’impeccables vidéos.
http://elaorleans.com/
Pré-ventes au musée des Abattoirs.